L’Éducation nationale vient de signer un nouvel accord avec Microsoft. Bien des points de cet accord posent problème. Les personnels concernés par les principaux points de cet accord sont avant tout les chefs d’établissements, décideurs et cadres de l’Éducation nationale : formés aux produits, techniques et organisations « made in Microsoft », c’est un début de privatisation de l’Éducation nationale qui se profile.