Un an après la campagne #MeToo, qui avait permis de libérer la parole des victimes de violences sexistes et de harcèlement sexuel, 600 femmes lancent un appel à manifester le 24 novembre prochain. Il s’agit de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes instaurée par l’ONU le 25 novembre (depuis 1999). Les féministes ont choisi de décliner cette journée le samedi 24 afin de favoriser la mobilisation.